ATTENTION
Cette formation est l’équivalent d’une formation en salle portant le même titre ou l’enregistrement d’une formation qui s’est déroulée en salle ou par webinaire. Si vous avez assisté à la formation originale en salle ou au webinaire et que vous désirez la visionner à nouveau, veuillez noter qu’un membre de l’Ordre ne peut se prévaloir des heures de formation d’une activité de formation à laquelle il a déjà assisté, et ce, peu importe la période de référence.
Conférencières
Me Sarah-Maude Belleville-Chénard
Me Léa Lemay Langlois
« La capacité d’adapter leur pratique aux traumatismes fait partie des compétences essentielles à développer pour les professionnel.les du droit qui pratiquent auprès de survivant.es, particulièrement en contexte autochtone. Après une brève mise en contexte des enjeux auxquels font face les membres des Peuples Autochtones qui naviguent dans le système de justice québécois, les conférencières aborderont les impacts qu’ont les traumatismes sur le cerveau humain ainsi que leurs conséquences pour la pratique du droit. Elles présenteront des réflexions sur des façons concrètes d’adapter la pratique pour tenir compte de ces impacts dans le cadre de la relation avocat.es-client.es, dans le contexte judiciaire et pour la santé psychologique des professionnel.les. Bien que le contexte de cette formation soit campé dans les réalités autochtones, la formation s’adresse plus largement à tou.tes les professionnel. les qui travaillent auprès de justiciables susceptibles de vivre avec des traumatismes ».
Biographies :
Sarah-Maude Belleville-Chénard (Barreau 2016) est avocate chez Dionne Schulze. Elle se spécialise en droit relatif aux Peuples Autochtones et agit dans plusieurs types de dossiers, notamment en matière de litige civil relativement à des abus historiques. Dans ce contexte, elle accorde une place importante au perfectionnement continuel de la qualité des services rendus aux survivant.e.s. Elle est titulaire d’une maîtrise de recherche en droit (LL.M.)
Léa Lemay Langlois (Barreau 2019) est avocate chez Dionne Schulze. Elle se spécialise en droit relatif aux Peuples Autochtones et agit dans plusieurs types de dossiers, notamment en matière de litige civil relativement à des abus historiques. Ayant aussi travaillé auprès de survivant.es en contexte multiculturel et de justice transitionnelle, elle est particulièrement familière avec les approches du droit adaptées aux traumatismes. Elle est titulaire d’une maîtrise en droit international des droits humains (LL.M.) et d’un baccalauréat en relations internationales et droit international (B.A.).